Le Festival
L’histoire du Festival Rilke
1998, la conception
La Société de Développement de Sierre et environs réunit un groupe de travail. Objectif: une meilleure mise en valeur de la Fondation Rainer Maria Rilke et de son musée permanent (voir ci-dessous). Le Festival Rilke vient de naître.
2000, la première édition
Elle consacre l’esprit du festival, qui unit exigence culturelle et convivialité, enthousiasme et rigueur, diversité et cohérence. Le pari semblait fou. Il est gagné.
2003, deuxième édition
Même démarche, même succès. De nombreux spectateurs assistent à des lectures de Rilke à l’aube et en pleine nuit.
2006, troisième édition
Les «Amitiés russes» de Rilke font un tabac. Le Festival bat un premier record de fréquentation avec 5’500 visiteurs. De nombreuses personnes font le déplacement depuis l’Allemagne, l’Autriche, la France et l’Angleterre.
2009, quatrième édition
Près de 6’000 visiteurs profitent d’une programmation très riche autour des «Jours d’Italie» de Rilke. La simplicité et l’humour du célèbre chansonnier Giorgio Conte séduisent les spectateurs du samedi soir. On n’oubliera pas les chuchotements émouvants des Souffleurs dans le parc ni la prestation remuante de «Bern ist überall». La qualité des spectacles et des animations est saluée par le public.
2012, cinquième édition
Sous l’égide des «Ecritures contemporaines», l’événement franchit le cap des 6000 visiteurs. Très attendue, la création musicale «C’est là que nous sommes», inspirée par une œuvre de Rilke, emballe le public. Composée par Patrice Genet et mise en scène par Thierry Romanens, elle réunit les meilleures voix de la chanson romande pour un concert unique sous les étoiles. Les festivaliers sont subjugués par la performance théâtrale de la Cie des Arpenteurs de l’Invisible, l’atmosphère sensuelle du photographe Matthieu Gafsou et les cordes virtuoses de l’Ensemble Camerata. Sans oublier les moments d’échange avec des écrivains actuels autour d’un verre.